A year ago, Konkola Copper Mines (KCM) returned to Vedanta Resources after a prolonged liquidation period that left production, employment, and local economies in limbo.
Today, the story is markedly different. KCM is not just producing copper again; it is slowly restoring the economic heartbeat of Chingola, Chililabombwe, and the broader Copperbelt.
Its trajectory offers lessons on the interplay between investment, operations, and community impact in Zambia’s mining sector.
From August 2024 to December 2025, KCM’s monthly copper output rose from 5,500 tonnes to 8,200 tonnes across its four business units: Konkola, Nchanga, Nkana, and Nampundwe.
Mines and Minerals Development Minister, Paul Kabuswe, noted in Parliament that this reflects “steady progress” and a deliberate recovery plan.
Beyond numbers, the revival of technical capabilities, such as the reintroduction of raise boring at No. 3 Shaft in Chililabombwe, the first in fifteen years, signals a commitment to safer, more efficient underground operations and unlocks access to deeper ore bodies, a cornerstone of the Konkola Deep Mining Project (KDMP).
Employment has been a central focus. KCM now employs 13,800 people, comprised of direct staff and business partners.
These figures are not just statistics; they represent households regaining stability after years of uncertainty.
The mine’s resumption has also revitalized the local business ecosystem.
KCM works with 2,495 registered vendors, nearly 80 percent of whom are Zambian, injecting US$69.13 million into local supply chains.
This compares to US$7.27 million for foreign companies, demonstrating how mining operations can directly support local enterprises and stimulate economic activity beyond the gates of the mine.
Financially, KCM has made significant strides in addressing past obligations.
Out of US$407 million owed for post-liquidation contracts, US$383 million has been paid, while all Class I creditors, those owed under US$1 million, have been fully settled.
Minister Kabuswe emphasised that KCM “remains fully compliant with the High Court order and will honour all remaining obligations,” highlighting transparency and accountability in managing debts and contracts.
The effects on local communities extend beyond employment and business contracts.
Through an independent Trust Board, KCM continues to invest US$20 million annually in education, health, livelihoods, and sports.
Such programmes complement the direct economic benefits of employment and supplier contracts, supporting families and strengthening social infrastructure in Chingola and Chililabombwe.
The resumption of mining activity has allowed shops, markets, and local service providers to regain cash flow, creating a multiplier effect that revitalises livelihoods in these towns.
Yet, challenges persist. KCM continues to face structural obstacles, including ZESCO’s 35 percent upfront power payment policy, unpaid Value Added Tax (VAT) refunds totalling US$178 million from the liquidation period, and overlapping mining licences that threaten long-term operational stability.
Addressing these issues is critical if the mine is to maintain momentum and achieve its production targets, including the goal of 300,000 tonnes annually.
Read More: Vedanta plans $1.5 billion U.S. fund for CopperTech to boost KCM output, reinforce Zambia’s copper hub
Investment remains the linchpin of KCM’s recovery. Vedanta has committed US$330 million by December 2025, with US$50 million already spent on asset improvements, and further funds earmarked for the modernisation of the Nchanga smelter and the expansion of KDMP.
Feasibility studies for a cobalt processing facility, solar power, and a thermal baseload plant indicate a forward-looking strategy to secure energy, expand output, and align KCM with Zambia’s ambitions in clean energy and industrial growth.
The past year demonstrates that mining recovery is multidimensional.
It is not simply about copper output or balance sheets; it is about restoring jobs, supporting local suppliers, stabilising communities, and investing in infrastructure and skills that underpin long-term economic resilience.
KCM’s experience underscores how a focused, strategic approach can revive a complex mining operation while delivering measurable benefits to local economies and society at large.
For the Copperbelt, KCM is more than a mine; it is an economic anchor. Its recovery is proving that when investment, operational discipline, and social responsibility intersect, mining can be a powerful force for development.
The challenge ahead is to sustain this momentum, resolve structural constraints, and ensure that both production and community benefits continue to grow in tandem.
KCM’s first year under Vedanta shows that such a balance is not only possible, it is essential for the future of Zambia’s copper industry and the livelihoods it supports.
Il y a un an, Konkola Copper Mines (KCM) est revenue à Vedanta Resources après une longue période de liquidation qui a laissé la production, l'emploi et les économies locales dans l'incertitude.
Aujourd'hui, la situation est très différente. KCM ne se contente pas de produire à nouveau du cuivre, elle rétablit progressivement le pouls économique de Chingola, Chililabombwe et de l'ensemble de la Copperbelt.
Son parcours offre des enseignements sur l'interaction entre les investissements, les opérations et l'impact sur les communautés dans le secteur minier zambien.
D'août 2024 à décembre 2025, la production mensuelle de cuivre de KCM est passée de 5 500 tonnes à 8 200 tonnes dans ses quatre unités commerciales : Konkola, Nchanga, Nkana et Nampundwe.
Le ministre du Développement minier et minéral, Paul Kabuswe, a souligné au Parlement que cela reflétait des « progrès constants » et un plan de relance délibéré.
Au-delà des chiffres, la renaissance des capacités techniques, comme la réintroduction du forage ascendant au puits n° 3 de Chililabombwe, le premier depuis quinze ans, témoigne d'un engagement en faveur d'opérations souterraines plus sûres et plus efficaces et ouvre l'accès à des gisements plus profonds, pierre angulaire du projet minier Konkola Deep Mining Project (KDMP).
L'emploi a été au centre des préoccupations. KCM emploie aujourd'hui 13 800 personnes, comprenant le personnel direct et les partenaires commerciaux.
Ces chiffres ne sont pas seulement des statistiques ; ils représentent des ménages qui retrouvent leur stabilité après des années d'incertitude.
La reprise de l'exploitation minière a également revitalisé l'écosystème commercial local.
KCM travaille avec 2 495 fournisseurs enregistrés, dont près de 80 % sont zambiens, injectant ainsi 69,13 millions de dollars américains dans les chaînes d'approvisionnement locales.
Ce chiffre est à comparer aux 7,27 millions de dollars américains injectés par les entreprises étrangères, ce qui démontre à quel point les activités minières peuvent soutenir directement les entreprises locales et stimuler l'activité économique au-delà des portes de la mine.
Sur le plan financier, KCM a fait des progrès significatifs dans le règlement de ses obligations passées.
Sur les 407 millions de dollars dus au titre des contrats postérieurs à la liquidation, 383 millions ont été payés, tandis que tous les créanciers de classe I, ceux dont les créances sont inférieures à 1 million de dollars, ont été entièrement remboursés.
Le ministre Kabuswe a souligné que KCM « continue de se conformer pleinement à l'ordonnance de la Haute Cour et honorera toutes ses obligations restantes », mettant en avant la transparence et la responsabilité dans la gestion des dettes et des contrats.
Les effets sur les communautés locales vont au-delà de l'emploi et des contrats commerciaux.
Par l'intermédiaire d'un conseil d'administration indépendant, KCM continue d'investir 20 millions de dollars US par an dans l'éducation, la santé, les moyens de subsistance et le sport.
Ces programmes complètent les avantages économiques directs liés à l'emploi et aux contrats avec les fournisseurs, en soutenant les familles et en renforçant les infrastructures sociales à Chingola et Chililabombwe.
La reprise de l'activité minière a permis aux magasins, aux marchés et aux prestataires de services locaux de retrouver des liquidités, créant ainsi un effet multiplicateur qui redynamise les moyens de subsistance dans ces villes.
Cependant, des défis persistent. KCM continue de faire face à des obstacles structurels, notamment la politique de paiement anticipé de 35 % de l'électricité de ZESCO, les remboursements de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) impayés totalisant 178 millions de dollars américains depuis la période de liquidation, et le chevauchement des licences minières qui menacent la stabilité opérationnelle à long terme.
Il est essentiel de résoudre ces problèmes si la mine veut maintenir son élan et atteindre ses objectifs de production, notamment celui de 300 000 tonnes par an.
Pour en savoir plus : Vedanta prévoit un fonds américain de 1,5 milliard de dollars pour CopperTech afin de stimuler la production de KCM et de renforcer le pôle cuivre de la Zambie
L'investissement reste le pivot de la reprise de KCM. Vedanta s'est engagé à investir 330 millions de dollars américains d'ici décembre 2025, dont 50 millions ont déjà été dépensés pour l'amélioration des actifs, et d'autres fonds sont prévus pour la modernisation de la fonderie de Nchanga et l'expansion du KDMP.
Les études de faisabilité concernant une installation de traitement du cobalt, l'énergie solaire et une centrale thermique de base indiquent une stratégie tournée vers l'avenir visant à garantir l'approvisionnement en énergie, à augmenter la production et à aligner KCM sur les ambitions de la Zambie en matière d'énergie propre et de croissance industrielle.
L'année écoulée démontre que la reprise minière est multidimensionnelle.
Il ne s'agit pas simplement de la production de cuivre ou des bilans financiers, mais aussi de restaurer des emplois, de soutenir les fournisseurs locaux, de stabiliser les communautés et d'investir dans les infrastructures et les compétences qui sous-tendent la résilience économique à long terme.
L'expérience de KCM souligne à quel point une approche stratégique ciblée peut redynamiser une exploitation minière complexe tout en apportant des avantages mesurables aux économies locales et à la société dans son ensemble.
Pour la Copperbelt, KCM est plus qu'une mine, c'est un pilier économique. Son redressement prouve que lorsque l'investissement, la discipline opérationnelle et la responsabilité sociale se rejoignent, l'exploitation minière peut être un puissant moteur de développement.
Le défi à relever consiste à maintenir cette dynamique, à résoudre les contraintes structurelles et à veiller à ce que la production et les avantages pour la communauté continuent de croître de concert.
La première année de KCM sous la houlette de Vedanta montre qu'un tel équilibre est non seulement possible, mais aussi essentiel pour l'avenir de l'industrie du cuivre en Zambie et les moyens de subsistance qu'elle soutient.
Aujourd'hui, la situation est très différente. KCM ne se contente pas de produire à nouveau du cuivre, elle rétablit progressivement le pouls économique de Chingola, Chililabombwe et de l'ensemble de la Copperbelt.
Son parcours offre des enseignements sur l'interaction entre les investissements, les opérations et l'impact sur les communautés dans le secteur minier zambien.
D'août 2024 à décembre 2025, la production mensuelle de cuivre de KCM est passée de 5 500 tonnes à 8 200 tonnes dans ses quatre unités commerciales : Konkola, Nchanga, Nkana et Nampundwe.
Le ministre du Développement minier et minéral, Paul Kabuswe, a souligné au Parlement que cela reflétait des « progrès constants » et un plan de relance délibéré.
Au-delà des chiffres, la renaissance des capacités techniques, comme la réintroduction du forage ascendant au puits n° 3 de Chililabombwe, le premier depuis quinze ans, témoigne d'un engagement en faveur d'opérations souterraines plus sûres et plus efficaces et ouvre l'accès à des gisements plus profonds, pierre angulaire du projet minier Konkola Deep Mining Project (KDMP).
L'emploi a été au centre des préoccupations. KCM emploie aujourd'hui 13 800 personnes, comprenant le personnel direct et les partenaires commerciaux.
Ces chiffres ne sont pas seulement des statistiques ; ils représentent des ménages qui retrouvent leur stabilité après des années d'incertitude.
La reprise de l'exploitation minière a également revitalisé l'écosystème commercial local.
KCM travaille avec 2 495 fournisseurs enregistrés, dont près de 80 % sont zambiens, injectant ainsi 69,13 millions de dollars américains dans les chaînes d'approvisionnement locales.
Ce chiffre est à comparer aux 7,27 millions de dollars américains injectés par les entreprises étrangères, ce qui démontre à quel point les activités minières peuvent soutenir directement les entreprises locales et stimuler l'activité économique au-delà des portes de la mine.
Sur le plan financier, KCM a fait des progrès significatifs dans le règlement de ses obligations passées.
Sur les 407 millions de dollars dus au titre des contrats postérieurs à la liquidation, 383 millions ont été payés, tandis que tous les créanciers de classe I, ceux dont les créances sont inférieures à 1 million de dollars, ont été entièrement remboursés.
Le ministre Kabuswe a souligné que KCM « continue de se conformer pleinement à l'ordonnance de la Haute Cour et honorera toutes ses obligations restantes », mettant en avant la transparence et la responsabilité dans la gestion des dettes et des contrats.
Les effets sur les communautés locales vont au-delà de l'emploi et des contrats commerciaux.
Par l'intermédiaire d'un conseil d'administration indépendant, KCM continue d'investir 20 millions de dollars US par an dans l'éducation, la santé, les moyens de subsistance et le sport.
Ces programmes complètent les avantages économiques directs liés à l'emploi et aux contrats avec les fournisseurs, en soutenant les familles et en renforçant les infrastructures sociales à Chingola et Chililabombwe.
La reprise de l'activité minière a permis aux magasins, aux marchés et aux prestataires de services locaux de retrouver des liquidités, créant ainsi un effet multiplicateur qui redynamise les moyens de subsistance dans ces villes.
Cependant, des défis persistent. KCM continue de faire face à des obstacles structurels, notamment la politique de paiement anticipé de 35 % de l'électricité de ZESCO, les remboursements de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) impayés totalisant 178 millions de dollars américains depuis la période de liquidation, et le chevauchement des licences minières qui menacent la stabilité opérationnelle à long terme.
Il est essentiel de résoudre ces problèmes si la mine veut maintenir son élan et atteindre ses objectifs de production, notamment celui de 300 000 tonnes par an.
Pour en savoir plus : Vedanta prévoit un fonds américain de 1,5 milliard de dollars pour CopperTech afin de stimuler la production de KCM et de renforcer le pôle cuivre de la Zambie
L'investissement reste le pivot de la reprise de KCM. Vedanta s'est engagé à investir 330 millions de dollars américains d'ici décembre 2025, dont 50 millions ont déjà été dépensés pour l'amélioration des actifs, et d'autres fonds sont prévus pour la modernisation de la fonderie de Nchanga et l'expansion du KDMP.
Les études de faisabilité concernant une installation de traitement du cobalt, l'énergie solaire et une centrale thermique de base indiquent une stratégie tournée vers l'avenir visant à garantir l'approvisionnement en énergie, à augmenter la production et à aligner KCM sur les ambitions de la Zambie en matière d'énergie propre et de croissance industrielle.
L'année écoulée démontre que la reprise minière est multidimensionnelle.
Il ne s'agit pas simplement de la production de cuivre ou des bilans financiers, mais aussi de restaurer des emplois, de soutenir les fournisseurs locaux, de stabiliser les communautés et d'investir dans les infrastructures et les compétences qui sous-tendent la résilience économique à long terme.
L'expérience de KCM souligne à quel point une approche stratégique ciblée peut redynamiser une exploitation minière complexe tout en apportant des avantages mesurables aux économies locales et à la société dans son ensemble.
Pour la Copperbelt, KCM est plus qu'une mine, c'est un pilier économique. Son redressement prouve que lorsque l'investissement, la discipline opérationnelle et la responsabilité sociale se rejoignent, l'exploitation minière peut être un puissant moteur de développement.
Le défi à relever consiste à maintenir cette dynamique, à résoudre les contraintes structurelles et à veiller à ce que la production et les avantages pour la communauté continuent de croître de concert.
La première année de KCM sous la houlette de Vedanta montre qu'un tel équilibre est non seulement possible, mais aussi essentiel pour l'avenir de l'industrie du cuivre en Zambie et les moyens de subsistance qu'elle soutient.
le chemin est (très) long pour arriver à 300 000t/an!!!!
la montée en charge va se faire ..
on revient de loin ...!!
très loin ...
on revient de loin ...!!
très loin ...