ONGC, GAIL eye part of Exxon stake in Kashagan field

[frédéric]

REUTERS
NEW DELHI/ASTANA (Reuters) - Two state-run Indian companies are interested in buying into the massive Kashagan oilfield in Kazakhstan should U.S. major ExxonMobil Corp sell its stake, the head of one of the firms said on Wednesday.

B. C. Tripathi, chairman of gas company GAIL (India), told Reuters his company and Indian explorer Oil and Natural Gas Corp were interested in entering the potentially lucrative field in the Caspian Sea.

The Hindustan Times newspaper reported that ONGC Videsh Ltd -- the overseas investment arm of ONGC -- and GAIL were planning to acquire an 8.4 percent stake in Kashagan from ExxonMobil for about $5 billion.

"We are interested. In all such ventures abroad we are happy to work with OVL (ONGC Videsh Ltd)," Tripathi said, declining to elaborate further.

Kashagan, the world's biggest oil find in more than 40 years, is central to plans by Kazakhstan to pump an additional 60 percent of crude output by 2020. The vast Central Asian state holds about 3 percent of the world's recoverable oil reserves.

ExxonMobil has never publicly stated an intention to sell any of its stake.

A source within the government of Kazakhstan, who spoke to Reuters on condition of anonymity, said the government had received no formal proposals related to a sale.

"The Kazakh side has information that Exxon had been working on the issue of searching for potential buyers for its stake in the Kashagan project. As far as I am aware, this process has stopped," the source said.

"The government of Kazakhstan has not, to this day, received any official offer about the conclusion of any deals with regard to the sale of a stake from any one company to another."

An international consortium has been developing the Kashagan project, which is due to begin production in late 2012 or early 2013, since the 1990s when it struck a deal with the then cash-strapped Kazakhstan government following the collapse of Soviet Union .

Kazakhstan, now Central Asia's biggest economy, has grown more assertive over its natural resources, and state oil and gas company KazMunaiGas entered the project in 2005. It doubled its stake three years later to 16.8 percent.

The other consortium members are Eni , Total, Royal Dutch Shell , ConocoPhillips and Japan 's Inpex.

COSTLY SECOND PHASE

Negotiations between foreign investors and the state have run into trouble over the more lucrative and costly second phase of Kashagan's development. Kazakhstan said in January it would not approve the second phase because of prohibitive costs.

North Caspian Operating Company B.V., the consortium running the project, declined immediate comment. It previously said it was undertaking a "careful review" of the second phase.

With an apparent stalemate on talks over the second phase, industry executives in Kazakhstan say some of the shareholders have been exploring the possibility of exiting the project.

"I know that ExxonMobil has offered its stake in the project on the market," said a source close to the project, on condition of anonymity because of the sensitivity of the subject.

The Hindustan Times reported that the consortium led by ONGC Videsh had submitted a "non-binding but firm indicative bid" to ExxonMobil for half of its 16.81 percent stake in Kashagan oil. The newspaper cited documents related to the deal.

ConocoPhillips , in the midst of a plan to boost shareholder returns with share buybacks and higher dividends, has also been cited by analysts as a possible seller as it prepares to offload assets worth up to $17 billion.

"The government has not received any official offers," the government source said when asked about ConocoPhillips .

India is the world's fourth-largest oil importer, with imports covering about 80 percent of its crude needs. It is scouting for oil and gas assets abroad to meet expanding refining capacity and energy demand in an economy growing by around 8.5 percent annually.

ONGC acquired 25 percent of the Satpayev oil block in Kazakhstan in April, although India generally has been less successful than rival China in tapping the energy riches of Central Asia.

Chinese companies control 22.5 percent of Kazakhstan's oil output, although the government forecasts their share will drop to 8.9 percent by 2020. Such a prediction implies that a Chinese company would be unlikely to win a stake in Kashagan.

Indian companies would also need the blessing of Kazakhstan.

"According to the law and to the PSA (production sharing agreement), in any scenario Kazakhstan and KazMunaiGas will be among the priority acquirers of any stake sold by any company," the government source said.

(Additional reporting by Maria Gordeyeva in Almaty; Writing by Robin Paxton and Jo Winterbottom, editing by Jane Baird)
Wednesday 8 June 2011, 4:56 PM

[frédéric]

traduction :
NEW DELHI / MOSCOU (Reuters) - Deux gérées par l'Etat des entreprises indiennes sont intéressées à acheter dans le champ pétrolifère de Kashagan au Kazakhstan massive devrait américain ExxonMobil Corp vendre sa participation, la tête de l'une des entreprises ont déclaré mercredi.

BC Tripathi, président de la compagnie de gaz GAIL (Inde), a déclaré à Reuters son entreprise et de l'Inde explorateur Oil and Natural Gas Corp se sont intéressés à entrer dans le domaine potentiellement lucratif dans la mer Caspienne.

Le journal Hindustan Times a rapporté que ONGC Videsh Ltd - la division d'investissement étranger d'ONGC - et GAIL avaient l'intention d'acquérir une participation de 8,4 pour cent en Kashagan d'ExxonMobil pour environ $ 5 milliards.

"Nous sommes intéressés. Dans toutes les entreprises telles l'étranger, nous sommes heureux de travailler avec OVL (ONGC Videsh Ltd)," Tripathi dit, refusant de commenter davantage.

Kashagan, le plus grand du pétrole de la planète trouvent dans plus de 40 ans, est centrale dans les plans du Kazakhstan à la pompe supplémentaire de 60 pour cent de la production de brut d'ici à 2020. L'Etat central vaste d'Asie détient environ 3 pour cent des réserves mondiales de pétrole récupérable.

ExxonMobil n'a jamais publiquement déclaré son intention de vendre toute sa participation.

Une source au sein du gouvernement du Kazakhstan, qui a parlé à Reuters sous couvert d'anonymat, a déclaré que le gouvernement n'avait pas reçu de propositions formelles relatives à une vente.

"La partie kazakhe a des informations que la société Exxon avait travaillé sur la question de la recherche d'acheteurs potentiels pour sa participation dans le projet Kashagan. Autant que je sache, ce processus s'est arrêté", a dit la source.

«Le gouvernement du Kazakhstan a pas, à ce jour, reçu aucune offre officielle de la conclusion de tout accord en ce qui concerne la vente d'une participation d'une entreprise donnée à un autre."

Un consortium international a été le développement du projet Kashagan, qui est due à commencer la production à la fin 2012 ou début 2013, depuis les années 1990 quand il a conclu une entente avec le gouvernement d'alors à court d'argent au Kazakhstan après l'effondrement de l'Union soviétique.

Kazakhstan, maintenant la plus grande économie d'Asie centrale, a connu une croissance plus ferme sur ses ressources naturelles, et l'huile d'Etat et KazMunaiGas compagnie de gaz est entré le projet en 2005. Il a doublé sa participation trois ans plus tard à 16,8 pour cent.

Les autres membres du consortium sont Eni, Total, Royal néerlandais Shell, ConocoPhillips et le Japon d 'Inpex.

COUT DE LA SECONDE PHASE

Les négociations entre les investisseurs étrangers et l'Etat ont des ennuis au cours de la phase plus lucratives et coûteuses deuxième axe de développement de Kashagan. Kazakhstan a déclaré en Janvier il ne serait pas approuver la deuxième phase en raison des coûts prohibitifs.

North Caspian Operating Company BV, le consortium qui gère le projet, a refusé de commenter immédiatement. Elle a déjà dit qu'il avait entrepris un "examen minutieux" de la deuxième phase.

Avec une impasse apparente sur les négociations au cours de la deuxième phase, cadres de l'industrie au Kazakhstan dire que certains des actionnaires ont été d'explorer la possibilité de quitter le projet.

"Je sais que ExxonMobil a offert sa participation dans le projet sur le marché", a déclaré une source proche du projet, à condition de l'anonymat en raison de la sensibilité du sujet.

Le Hindustan Times a signalé que le consortium dirigé par ONGC Videsh avait présenté une «offre non-contraignante mais ferme indicatif" à ExxonMobil pour la moitié de sa participation de 16,81 pour cent dans le pétrole de Kashagan. Le journal a cité les documents liés à la transaction.

ConocoPhillips, au milieu d'un plan de relance de rendement pour les actionnaires avec des rachats d'actions et de dividendes plus élevés, ont également été cités par les analystes comme un vendeur possible car il se prépare à décharger actifs d'une valeur jusqu'à 17 milliards de dollars.

"Le gouvernement n'a reçu aucune offre officielle," la source du gouvernement a déclaré, interrogé sur ConocoPhillips.

L'Inde est le premier importateur mondial de pétrole au quatrième rang, avec des importations couvrent environ 80 pour cent de ses besoins brut. Il est le dépistage des actifs pétroliers et gaziers à l'étranger pour répondre à l'expansion des capacités de raffinage et de la demande d'énergie dans une économie en croissance d'environ 8,5 pour cent par an.

ONGC a acquis 25 pour cent du bloc de l'huile Satpayev au Kazakhstan en avril, bien que l'Inde a été généralement moins de succès que la Chine rivale en tapant les richesses énergétiques de l'Asie centrale.

Les entreprises chinoises de contrôle 22,5 pour cent de la production de pétrole du Kazakhstan, bien que le gouvernement prévoit de leur proportion diminue à 8,9 pour cent en 2020. Une telle prédiction implique qu'une société chinoise serait peu probable de gagner une participation dans Kashagan.

Les sociétés indiennes seraient également besoin de la bénédiction du Kazakhstan.

"Conformément à la loi et de la PSA (accord de partage de production), dans n'importe quel scénario Kazakhstan et KazMunaiGas seront parmi les acquéreurs de priorité d'un jeu vendu par une société,« la source gouvernementale.

(Reportage additionnel par Maria Gordeyeva à Almaty; Ecrit par Robin Paxton et Jo Winterbottom, l'édition de Jane Baird)

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Oil India head says scouting for shale gas assets in Argentina

NEW DELHI (Reuters) - State-run explorer Oil India is looking to buy stake in shale gas assets in Argentina, Chairman N.M. Borah told reporters on Tuesday.

The firm has been eyeing oil-producing assets overseas, and has set aside 40 billion rupees to 45 billion rupees ($888 million to $1 billion) to buy oil and gas assets, he said.

India is the world's fourth-largest oil importer, buying about 80 percent of its crude needs. It has been scouting for oil and gas assets abroad to meet demand in an economy growing around 8.5 percent, and to feed its expanding refining capacity.

(Reporting by Sanjeev Choudhary; Editing by Aradhana Aravindan)
traduction :
NEW DELHI (Reuters) - gérée par l'État explorateur Oil India cherche à racheter la participation dans des actifs gaziers de schiste en Argentine, le président NM Borah a déclaré aux journalistes mardi.

L'entreprise a été regardant actifs producteurs de pétrole d'outre-mer, et a prévu 40 milliards de roupies à 45 milliards de roupies (888 millions de dollars 1 milliard de dollars) pour acheter des actifs pétroliers et gaziers, at-il dit.

L'Inde est le premier importateur mondial de pétrole au quatrième rang, l'achat d'environ 80 pour cent de ses besoins en brut. Il a été le dépistage des actifs pétroliers et gaziers à l'étranger pour répondre à la demande dans une économie de plus en plus autour de 8,5 pour cent, et pour nourrir sa capacité de raffinage en expansion.

(Reportage par Sanjeev Choudhary, édité par Aravindan Aradhana)
On Tuesday 31 May 2011, 5:30 PM