Cairn-Vedanta: in limbo in India

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Clint

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Message Jeu 17 Fév 2011 11:39

Cairn-Vedanta: in limbo in India

Cairn-Vedanta: in limbo in India
February 17, 2011 8:12 am by James Lamont 0 0

Time is running out. Sir Bill Gammell, the chairman of Cairn Energy, may soon have to tell his shareholders that the $9.6bn deal to sell his company’s assets in India to Vedanta may miss its 15 April deadline. He won’t relish that. But seven months after the offer was launched in August, it lies in limbo.

The regulatory decision over the sale of a controlling stake in Cairn India has been kicked upstairs. The petroleum ministry, which has toyed with whether to agree to the transfer of production licences to a new owner, decided this week that the decision was simply “too big” for it and passed it on to the cabinet.

That’s possibly good news because cabinet members like Manmohan Singh, the prime minister , and others realise that the deal is a test of India’s welcome to foreign investment. They may be sympathetic to clearing the deal and persuading the new owner Vedanta to resolve a thorny dispute with state-owned Oil and Natural Gas Corporation over royalty payments post-facto.

But it’s also bad news. A cabinet decision involves more people, including Murli Deora, the new corporate affairs minister and Pranab Mukherjee, the finance minister. Some of these will have to be briefed on the details of the case. Their consultation, expected to begin in two weeks, comes at a time when there is furore over corruption and the fairness of government policy. It also coincides with the budget session of parliament, and highly adversarial opposition politics.

So the Cairn Energy deal may find itself low on a stalling government agenda. But worse, it may fall victim to Indian leaders and bureaucrats not really wanting to take responsibility for a high profile corporate decision.

At the heart of this is a dispute over whether the Indian state should be bearing hefty costs for a strongly cash-generating private venture. The generous terms all made sense in the 1990s when India wanted to attract foreign capital and expertise into the oil and sector gas. No one then thought there was any oil in Rajasthan.

It may make less sense to New Delhi now when the proposed new owner is an Indian-born businessman living in London who has angered some in the ruling party who view him as having ridden roughshod over environment and social protection rules.

Sir Bill will know that New Delhi’s most powerful weapon is delay.

Posco, the Korean steelmaker, has waited five years for approval on a proposed $12bn integrated steel plant and port complex in the coastal state of Orissa. Again that project is viewed as a test of India’s welcome to foreign investment.

Sir Bill has spent a lot of time recently in India. Rather than packing up and leaving in min-April, he may be in for a longer stay.

http://blogs.ft.com/beyond-brics/2011/0 ... -in-india/
« L'aventure n'existe pas. Elle est dans l'esprit de celui qui la poursuit, et dès qu'il peut la toucher du doigt, elle s'évanouit pour renaître bien plus loin, sous une autre forme, aux limites de l'imagination. »
( Pierre Mac Orlan )
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Toinou

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Message Jeu 17 Fév 2011 17:43

Re: Cairn-Vedanta: in limbo in India

Trad :

Cairn-Vedanta: dans les limbes de l'Inde
17 février 2011 08:12 par James Lamont 0 0

Le temps est compté. Sir Bill Gammell, le président de Cairn Energy, pourrait bientôt avoir à dire à ses actionnaires que l'opération 9,6 milliards de dollars de vendre sa compagnie, les actifs AM dans l'Inde à Vedanta peut rater sa date limite du 15 avril. Il a gagné, relish Aot que. Mais sept mois après que l'offre a été lancé en août, il se trouve dans les limbes.

La décision de réglementation sur la vente d'une participation de contrôle dans Cairn India a été catapulté en haut. Le ministère du pétrole, qui a joué avec s'il ya lieu d'accepter le transfert de licences de production à un nouveau propriétaire, a décidé cette semaine que la décision a été tout simplement, Äútoo grande, de l'UA pour lui et il est passé sur le boîtier.

C'est, AOS éventuellement de bonnes nouvelles parce que les membres du Cabinet comme Manmohan Singh, le Premier ministre, et d'autres constatent que l'affaire est un test de l'Inde, bienvenue à l'investissement étranger participant. Elles peuvent être favorables à l'accord de compensation et de persuader le nouveau propriétaire Vedanta pour régler un différend épineux avec l'entreprise publique de pétrole et de gaz naturel Corporation sur les paiements de redevances post-facto.

Mais il, AOS aussi de mauvaises nouvelles. Une décision du cabinet implique plus de gens, y compris Murli Deora, le nouveau ministre des affaires corporatives et Pranab Mukherjee, le ministre des Finances. Certains de ceux-ci devront être informés des détails de l'affaire. Leur consultation, qui devrait commencer dans deux semaines, survient à un moment où il ya scandale de la corruption et l'équité de la politique gouvernementale. Elle coïncide également avec la session budgétaire du parlement, et la politique d'opposition très contradictoire.

Donc, l'accord Cairn Energy pourrait se trouver bas sur un programme du gouvernement de décrochage. Mais pire, il peut être victime de chefs indiens et les bureaucrates pas vraiment envie de prendre la responsabilité d'une décision de haut niveau de l'entreprise.

Au cœur de ce litige est un plus si l'Etat indien devrait être très lourd pour supporter les coûts d'une entreprise fortement génératrice de trésorerie privé. Les termes généreux tout au fait sens dans les années 1990 alors que l'Inde voulait attirer les capitaux étrangers et l'expertise dans le secteur pétrolier et gazier. Personne alors pensé qu'il y avait de l'huile dans le Rajasthan.

Il peut faire moins de sens à New Delhi maintenant, quand le propriétaire est un nouveau projet de vie-homme d'affaires indien né à Londres qui a provoqué la colère certains dans le parti au pouvoir qui le considèrent comme ayant remisé au placard environnement et les règles de protection sociale.

Sir Bill sait que New Delhi, l'arme la plus puissante du participant est le retard.

Posco, le sidérurgiste coréen, a attendu cinq ans pour l'approbation d'une usine d'acier proposé 12 milliards de dollars intégré et complexe portuaire dans l'Etat côtier d'Orissa. Encore une fois ce projet est considéré comme un test de l'Inde, l'AM Bienvenue à l'investissement étranger.

Sir Bill a passé beaucoup de temps récemment en Inde. Plutôt que de plier bagages et de quitter en min-avril, il peut être pour un séjour plus long.

http://blogs.ft.com/beyond-brics/2011/0 ... En Inde /

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