Unions reject KCM’s 3% salary increment By Mutuna Chanda in

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Unions reject KCM’s 3% salary increment
By Mutuna Chanda in Kitwe
Fri 11 Dec. 2009, 04:01 CAT [235 Reads, 0 Comment(s)]


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Konkola Copper Mines
Konkola Copper Mines
MINEWORKERS Union of Zambia (MUZ) and National Union of Miners and Allied Workers (NUMAW) have rejected Konkola Copper Mines’ three per cent salary increment offer.

The two unions have declared a dispute in the ongoing negotiations for improved conditions of service with KCM.

Briefing the press yesterday, MUZ president Rayford Mbulu expressed disappointment that the mining giant could offer such an infinitesimal increment when copper prices had risen to US $7,150 per tonne on the world market.

However, he appealed to mine workers to remain calm and allow the unions and KCM management to exhaust all the channels of the collective bargaining process as provided for by the law.

“From the manner we are proceeding; our negotiations with KCM are not giving us inspiration,” Mbulu said. “There’s extreme hopelessness. We are at three per cent offered by KCM and the unions are at 25 per cent. There is a difference of 22 per cent. Our position is that of extreme worry...in four meetings we are at three per cent and the company has said that’s the final position.”

He said he expected any normal company such as KCM which was recovering from recent industrial unrest relating to salary increments and concerns over other conditions of work to have made a better offer.

“We are not convinced that KCM can offer three per cent when copper prices have soared to US $7,150,” Mbulu said.

He said during the time of rock bottom copper prices when the global economic downturn caught the Zambian mining industry off its guard, the two unions had proposed to KCM a number of measures in which to enhance production and cut costs but that these were not heeded.

Mbulu said the unions had asked KCM to repair infrastructure and buy new equipment to improve production processes and also cut on the number of expatriate workers.
He said the 165 expatriates at KCM earning colossal sums of money were not adding any value to the company.

Mbulu said during the ZCCM days when the mining industry employed a total of 65,000 workers, there were less than 100 expatriates and wondered what the justification was for KCM, which was a fraction of the mining conglomerate, to have 165 foreign workers.

He said there was no need to have expatriates mainly of Asian origin to perform spokesperson, human resource, finance and metallurgical functions because there were many Zambians trained by local institutions who could work in those positions.

Mbulu criticised the government for letting down Zambians by allowing expatriates in positions that locals could occupy.

He questioned the criteria that the Ministry of Home Affairs used in issuing work permits to such expatriates.
Mbulu demanded a stop to the trend of employing expatriates when locals could perform the functions.

[Toinou]

Trad :

Les syndicats rejettent KCM's 3% l'augmentation de traitement
Par Mutuna Chanda à Kitwe
Ven. 11 décembre 2009, 04:01 CAT [235 lectures, 0 commentaire (s)]


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Konkola Copper Mines
Konkola Copper Mines
OUVRIERS MINEURS Union de la Zambie (MUZ) et du Syndicat national des mineurs et des branches connexes (NUMAW) ont rejeté Konkola Copper Mines 'offre de salaire de trois pour cent d'incrémentation.

Les deux syndicats ont déclaré un litige dans les négociations en cours pour l'amélioration des conditions de service auprès de KCM.

S'adressant à la presse hier, le président MUZ Rayford Mbulu a exprimé sa déception que le géant minier pourrait offrir une telle augmentation infime lorsque les prix du cuivre a augmenté de US $ 7,150 par tonne sur le marché mondial.

Cependant, il a lancé un appel aux travailleurs de la mine de rester calme et laisser les syndicats et la gestion de KCM pour épuiser toutes les voies du processus de négociation collective telle que prévue par la loi.

«De la manière que nous procédons, nos négociations avec la GCC sont ne pas nous donner l'inspiration", Mbulu dit. «Il ya le désespoir extrême. Nous sommes à trois pour cent offert par KCM et les syndicats sont à 25 pour cent. Il ya une différence de 22 pour cent. Notre position est que d'inquiétude extrême ... à quatre réunions, nous sommes à trois pour cent, et la compagnie a déclaré que c'est la position finale. "

Il a dit qu'il s'attendait à toute entreprise normale comme KCM qui se remettait d'une agitation industrielle récents relatifs aux augmentations de salaire et des inquiétudes sur les autres conditions de travail pour avoir fait une meilleure offre.

"Nous ne sommes pas convaincus que KCM peut offrir trois pour cent lorsque les prix du cuivre ont bondi à US $ 7,150," Mbulu dit.

Il a dit que pendant le temps des prix du cuivre le fond lorsque le ralentissement économique mondial a attiré l'industrie minière en Zambie au dépourvu, les deux syndicats avaient proposé de KCM un certain nombre de mesures pour améliorer la production et réduire les coûts, mais que ce n'étaient pas entendus.

Mbulu a déclaré que les syndicats avaient demandé KCM pour réparer les infrastructures et acheter du matériel pour améliorer les processus de production et également de réduire le nombre de travailleurs expatriés.
Il a dit que les 165 expatriés à KCM gagner des sommes colossales ont été n'ajoute aucune valeur à l'entreprise.

Mbulu dit durant les jours ZCCM où l'industrie minière employait un total de 65.000 ouvriers, il y avait moins de 100 expatriés et s'interroge sur la justification a été pour KCM, qui est une fraction du conglomérat minier, d'avoir 165 travailleurs étrangers.

Il a dit qu'il n'était pas nécessaire d'avoir des expatriés principalement d'origine asiatique pour effectuer le porte-parole, les ressources humaines, des finances et des fonctions métallurgiques parce qu'il y avait beaucoup de Zambiens formés par les institutions locales qui pourraient travailler dans ces positions.

Mbulu critiqué le gouvernement pour laisser tomber les Zambiens en permettant aux expatriés dans des positions que la population locale pourrait occuper.

Il s'est interrogé sur les critères que le ministère de l'Intérieur utilisé dans la délivrance des permis de travail aux expatriés tels.
Mbulu a exigé un arrêt à la tendance à l'emploi d'expatriés lorsque la population locale pourrait assumer les fonctions.